Élue Miss France 2024 il y a une semaine, Angélique Angarni-Filopon, représentante de la Martinique, est depuis la cible de violents commentaires haineux sur les réseaux sociaux. Face à cette vague de cyberharcèlement, la Société Miss France a décidé d’agir en saisissant la justice pour défendre sa nouvelle ambassadrice.
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Dans un communiqué officiel, l’organisation a condamné fermement ces attaques, qualifiées d’inacceptables. Tous les propos haineux et injurieux seront signalés aux autorités compétentes, a précisé son président, Frédéric Gilbert. "Le harcèlement et le cyberharcèlement sont des délits punis par la loi", a-t-il rappelé, réaffirmant son engagement contre ces comportements.
Si la victoire d’Angélique Angarni-Filopon a été saluée par une large majorité, elle a aussi déclenché une vague de critiques virulentes, souvent basées sur des préjugés et des attaques personnelles. Cette situation met en lumière la toxicité persistante des réseaux sociaux, où l’anonymat facilite les comportements haineux.
Cependant, Angélique peut compter sur un large soutien. De nombreuses personnalités publiques, associations et internautes se sont mobilisés pour dénoncer ces attaques et rappeler l’importance de la bienveillance en ligne.
La Société Miss France, en engageant des actions légales, souhaite également sensibiliser l’opinion publique aux conséquences graves du cyberharcèlement. Cet épisode relance le débat sur la responsabilité des plateformes numériques et des utilisateurs dans la régulation des contenus en ligne.
Malgré cette épreuve, Angélique Angarni-Filopon reste déterminée à porter haut les valeurs du concours. Elle incarne une voix forte contre le harcèlement, appelant à plus de respect et de solidarité dans une société de plus en plus connectée.
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